dimanche 29 mars 2009

AHHHHHHHHHHHHHHH!

AHHHHHHHHHHHHHHHH!
AHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH!
AHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH!

ON DÉMÉNAGE PROBABLEMENT ENSEMBLE EN MAI AHHHHHHHHHHHHHH!

Je me suis arrachée au moins une dizaine de cheveux.
Il y a des traces de dents sur ma main.
Mes dents se sont enfoncées d'environ 1 mm à force d'être serrées.

Mais tu sais quoi ?

Bonyeu que je suis heureuse !

samedi 21 mars 2009

Boooooooooonnnnnnnneeeee fête !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!


Tu sais, maintenant que tu es adulte, tu peux :

- Cesser de falsifier tes cartes pour réussir à finir la soirée très pompette

- Payer pour aller voir des garçons jouer du lasso avec leur zizi sur une scène

- Partager les illusions de toute grand-mère de gagner à la lotto (et donc d’avoir la chance de participer à la poule aux oeufs d’or)

- Te faire dessiner de façon permanente sur la peau

- Te faire faire une permanente (WTF ???)

- Fréquenter les endroits où des couples blasés rencontrent d’autres couples blasés et tentent, à plusieurs, de se déblaser

- Me laisser entrer mon pénis dans ton vagin en toute légalité (il ne faut plus avoir peur des mots, une fois adulte, sinon on aurait dit « Me laisser entrer mon Gilbert dans ta Carolle »)

- Cacher avec des pitounes de plastique des combinaisons criées par deux personnes sans aucun enthousiasme sur une petite feuille carrée

- Faire semblant que la démocratie existe bel et bien en écrivant un X sur un papier une fois par environ quatre ans

- Devenir première ministre

- Avoir un cellulaire.

Évidemment, avec la majorité, il y a encore des trucs que tu ne peux pas faire, telles que :

- Jouer avec ton caca (sauf si c’est à caractère éducatif)

- Te faire faire une permanente (ce n’est pas parce que tu as le droit légal que tu as...réellement... le droit)

- T’arracher un oeil au nom de l’Art

- Mourir électrocutée, nue dans mon lit

- Dire à tes parents qu’en réalité je suis probablement une fefi

- Aimer Samuel Forget

- Rêver à Samuel Forget

- Écrire à Samuel Forget

- Regarder Samuel Forget

- Me dire que j’ai une obsession à propos de Samuel Forget

- Te déguiser en moi pour aller acheter une grande quantité de crack en payant une tierce personne pour prendre des photos avant de venir cacher la drogue chez moi et d’appeler la police pour me faire une blague

- Me quitter.

Je crois que j’ai fait le tour.

Maintenant, sache que j’ai enfreint à ta règle (celle de ne pas t’acheter de cadeau) parce que tu as enfreint la mienne (malgré que je me ne rappelle plus exactement c’était quoi), mais c’est tout petit, je te jure !

Et je t’offre aussi un cadeau virtuel, une tonne (4) de gâteau !

:)

Je t’aime (Aaaaaaaahhhh, comme ces mots me sont naturels aujourd'hui quand je pense à toi)

vendredi 20 mars 2009


lundi 16 mars 2009

*Pause d'orgueil*

Bon, d'accord.

Je sais très bien qu'une semaine, ce n'est pas long du tout, mais...

Malgré tout, j'étais très contente de te voir et je me suis quand même un peu ennuyée.

Un tout petit peu de rien du tout.

Et ça fait du bien d'être avec toi de nouveau :) .

On dit : Home is where the heart is (c'est le nom d'une chanson que je n'aimais pas du tout, interprétée par un groupe plutôt violent, mais j'aime bien le titre).

Je dis : Ouais.

*Retour en mode orgueil*

lundi 9 mars 2009

Synthaxe désorganisée

Des gens qui m'intéressent, des gens qui me font dire : «Humm... peut-être bien», il y en a plusieurs. Des gens sur lesquels je me fais des idées, il y en a des tonnes.

Des gens qui me troublent? Très peu. Tellement peu que je ne les compte même pas ; je les décris. Des gens qui me troublent au même moment? Il n'y en a pas. Ou un. Et ce un, c'est toi.

Il me serait difficile d'expliquer le pourquoi du comment, et pourtant, il me semble que c'est évident. Il me semble que c'est inné, que c'est dans l'ordre naturel des choses... non?

Oh oui.

Mais toi tu ne sais pas
Que je t'aurais tout donné
Le jour où dans tes lunettes
Mon regard s'est plongé

[...]

Et ce cri trop interne
Ne veut vraiment pas cesser
Les branches restent sur le sol
Et je t'ai enfin trouvé


Je n'arrête pas de la chanter, c'est plus fort que moi.

Ce n'est pas que je n'ai pas tenté de le faire cesser, ce cri ; je n'ai pas pu et de toute façon, je ne l'ai pas vraiment voulu.

Parce que, malgré le léger malaise qui résultait du trouble en question (face à l'âge et à cet état nouvellement amoureux, ce qui était tout à fait troublant), j'étais (suis) si bien!

M'arrêter quelques secondes devant une chambre, au travail, parce que je sais que tu es de l'autre côté de la porte. Prendre une bonne bouffée d'air, sourire. Avoir l'air heureuse, beaucoup trop heureuse, pendant que personne ne regarde.

Si seulement tu savais tout ce que tu me fais découvrir!

J'en étais venue à l'idée que ça ne pouvait pas m'arriver, à moi. Que j'étais vouée aux amants purement sexuels, et au maximum, aux amourettes mensuelles. Après tout, quelqu'un de sain d'esprit ne peut pas m'aimer ; je ne suis qu'un pilier pour les âmes perdues.

Je m'aperçois que c'est faux. Que j'ai le droit d'aimer, d'aimer encore, de donner, de m'oublier. Que demain, tu ne seras pas parti. Que demain, tu ne m'arracheras pas mon affection miette par miette, que je peux te la donner par bouffée, par bouquet.

Je m'aperçois que je t'aime, que je t'aime encore, que je t'aime tellement que je dois me retenir de t'aimer trop. Pas par pas, qu'on s'était dit? Oui, j'essaie et je ne réussis pas trop mal, je crois. Seulement, ça demande pas mal de volonté, d'être rationnelle. De ne pas sauter d'étape.

J'ai bu un peu, mais pas trop ; juste assez pour que les mots coulent plus facilement, bien qu'ils soient désorganisés. Excuse la synthaxe de ce court post.

Et maintenant... va te coucher!

J'ai fini de jouer avec mes doigts :) .

vendredi 6 mars 2009

Un peu de savoir-vivre, bordel !

C'est bon, c'est bon, je ne vais pas montrer mon pénis à ta mère.

Je trouverai une autre façon d'exercer ma douce revanche.
:)