vendredi 21 août 2009
dimanche 5 juillet 2009
mardi 30 juin 2009
Pitchou pitch... ah, non.. désolé...
On remplace le mou par du dur !
Et un jour, tu arrêteras peut-être d'être impuissant...
(Vieux mou)
Je t'aime :) .
samedi 23 mai 2009
J'oublie TOUT LE TEMPS DE METTRE UN TITRE ET JE DOIS REVENIR 6 FOIS... GRRRRRRLLL
Bon, reste encore à trouver la couette, défaire les boîtes, s’obstiner (légèrement) sur l’emplacement, l’utilité, la couleur de tel ou tel trucmuche-machin OU LA HOUSSE, mais nous y sommes !
Je vais pouvoir te faire à déjeuner tous les matins et ensuite faire la vaisselle. Idem pour le dîner et souper. Sauf peut-être le Shabbat…
Et on va pouvoir faire l’amour tout le temps !!!

Et bon, je suis fatigué, je vais faire un petit dodo… :)
mardi 5 mai 2009
Les pieds
dimanche 3 mai 2009
Ben oui.
On néglige notre espace, tu sais. Pourtant, on ne devrait pas ; après tout, il se passe tellement de choses! Tu viens tout juste d'emménager dans notre nouvelle maison et je te rejoins d'ici peu. Le pain de la boulangerie est délicieux et mon bonheur aussi.
Je suis heureuse, heureuse, heureuse! Ben oui, on est le couple idéal, gneuh. Amélie ne sait pas de quoi elle parle.
«C'est sûr que parfois il me tape un peu sur les nerfs, c'est sûr que des fois je ne m'ennuie pas vraiment de lui, c'est sûr que je ne comprends pas toujours ce qu'il veut dire et que ça aboutit à des malentendus... mais je n'aurais pas voulu différent, ni plus, ni mieux. Notre couple, c'est ma perfection à moi.»
Tant qu'à procrastiner, j'en profite pour ajouter que j'ai vraiment aimé notre soirée d'hier, malgré les rouleaux de printemps lourdement handicapés!
Et tu sais, je crois que l'année prochaine (l'année scolaire, hein) s'annonce sous le signe du bonheur.
Je t'aime :) .
dimanche 29 mars 2009
AHHHHHHHHHHHHHHH!
AHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH!
AHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH!
ON DÉMÉNAGE PROBABLEMENT ENSEMBLE EN MAI AHHHHHHHHHHHHHH!
Je me suis arrachée au moins une dizaine de cheveux.
Il y a des traces de dents sur ma main.
Mes dents se sont enfoncées d'environ 1 mm à force d'être serrées.
Mais tu sais quoi ?
Bonyeu que je suis heureuse !
samedi 21 mars 2009
Boooooooooonnnnnnnneeeee fête !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Tu sais, maintenant que tu es adulte, tu peux :
- Cesser de falsifier tes cartes pour réussir à finir la soirée très pompette
- Payer pour aller voir des garçons jouer du lasso avec leur zizi sur une scène
- Partager les illusions de toute grand-mère de gagner à la lotto (et donc d’avoir la chance de participer à la poule aux oeufs d’or)
- Te faire dessiner de façon permanente sur la peau
- Te faire faire une permanente (WTF ???)
- Fréquenter les endroits où des couples blasés rencontrent d’autres couples blasés et tentent, à plusieurs, de se déblaser
- Me laisser entrer mon pénis dans ton vagin en toute légalité (il ne faut plus avoir peur des mots, une fois adulte, sinon on aurait dit « Me laisser entrer mon Gilbert dans ta Carolle »)
- Cacher avec des pitounes de plastique des combinaisons criées par deux personnes sans aucun enthousiasme sur une petite feuille carrée
- Faire semblant que la démocratie existe bel et bien en écrivant un X sur un papier une fois par environ quatre ans
- Devenir première ministre
- Avoir un cellulaire.
Évidemment, avec la majorité, il y a encore des trucs que tu ne peux pas faire, telles que :
- Jouer avec ton caca (sauf si c’est à caractère éducatif)
- Te faire faire une permanente (ce n’est pas parce que tu as le droit légal que tu as...réellement... le droit)
- T’arracher un oeil au nom de l’Art
- Mourir électrocutée, nue dans mon lit
- Dire à tes parents qu’en réalité je suis probablement une fefi
- Aimer Samuel Forget
- Rêver à Samuel Forget
- Écrire à Samuel Forget
- Regarder Samuel Forget
- Me dire que j’ai une obsession à propos de Samuel Forget
- Te déguiser en moi pour aller acheter une grande quantité de crack en payant une tierce personne pour prendre des photos avant de venir cacher la drogue chez moi et d’appeler la police pour me faire une blague
- Me quitter.
Je crois que j’ai fait le tour.
Maintenant, sache que j’ai enfreint à ta règle (celle de ne pas t’acheter de cadeau) parce que tu as enfreint la mienne (malgré que je me ne rappelle plus exactement c’était quoi), mais c’est tout petit, je te jure !
Et je t’offre aussi un cadeau virtuel, une tonne (4) de gâteau !
:)
Je t’aime (Aaaaaaaahhhh, comme ces mots me sont naturels aujourd'hui quand je pense à toi)
vendredi 20 mars 2009
lundi 16 mars 2009
*Pause d'orgueil*
Je sais très bien qu'une semaine, ce n'est pas long du tout, mais...
Malgré tout, j'étais très contente de te voir et je me suis quand même un peu ennuyée.
Un tout petit peu de rien du tout.
Et ça fait du bien d'être avec toi de nouveau :) .
On dit : Home is where the heart is (c'est le nom d'une chanson que je n'aimais pas du tout, interprétée par un groupe plutôt violent, mais j'aime bien le titre).
Je dis : Ouais.
*Retour en mode orgueil*
lundi 9 mars 2009
Synthaxe désorganisée
Des gens qui me troublent? Très peu. Tellement peu que je ne les compte même pas ; je les décris. Des gens qui me troublent au même moment? Il n'y en a pas. Ou un. Et ce un, c'est toi.
Il me serait difficile d'expliquer le pourquoi du comment, et pourtant, il me semble que c'est évident. Il me semble que c'est inné, que c'est dans l'ordre naturel des choses... non?
Oh oui.
Mais toi tu ne sais pas
Que je t'aurais tout donné
Le jour où dans tes lunettes
Mon regard s'est plongé
[...]
Et ce cri trop interne
Ne veut vraiment pas cesser
Les branches restent sur le sol
Et je t'ai enfin trouvé
Je n'arrête pas de la chanter, c'est plus fort que moi.
Ce n'est pas que je n'ai pas tenté de le faire cesser, ce cri ; je n'ai pas pu et de toute façon, je ne l'ai pas vraiment voulu.
Parce que, malgré le léger malaise qui résultait du trouble en question (face à l'âge et à cet état nouvellement amoureux, ce qui était tout à fait troublant), j'étais (suis) si bien!
M'arrêter quelques secondes devant une chambre, au travail, parce que je sais que tu es de l'autre côté de la porte. Prendre une bonne bouffée d'air, sourire. Avoir l'air heureuse, beaucoup trop heureuse, pendant que personne ne regarde.
Si seulement tu savais tout ce que tu me fais découvrir!
J'en étais venue à l'idée que ça ne pouvait pas m'arriver, à moi. Que j'étais vouée aux amants purement sexuels, et au maximum, aux amourettes mensuelles. Après tout, quelqu'un de sain d'esprit ne peut pas m'aimer ; je ne suis qu'un pilier pour les âmes perdues.
Je m'aperçois que c'est faux. Que j'ai le droit d'aimer, d'aimer encore, de donner, de m'oublier. Que demain, tu ne seras pas parti. Que demain, tu ne m'arracheras pas mon affection miette par miette, que je peux te la donner par bouffée, par bouquet.
Je m'aperçois que je t'aime, que je t'aime encore, que je t'aime tellement que je dois me retenir de t'aimer trop. Pas par pas, qu'on s'était dit? Oui, j'essaie et je ne réussis pas trop mal, je crois. Seulement, ça demande pas mal de volonté, d'être rationnelle. De ne pas sauter d'étape.
J'ai bu un peu, mais pas trop ; juste assez pour que les mots coulent plus facilement, bien qu'ils soient désorganisés. Excuse la synthaxe de ce court post.
Et maintenant... va te coucher!
J'ai fini de jouer avec mes doigts :) .
vendredi 6 mars 2009
Un peu de savoir-vivre, bordel !
Je trouverai une autre façon d'exercer ma douce revanche.
:)
vendredi 27 février 2009
1+1=3

Mon devoir à moi.
Je suis un éternel solitaire. J'aime être seul, faire mes choses seul, jouer du piano seul, m'étirer, m'entraîner, lire.. seul. J'aime faire des balades en vélo seul, marcher seul, écouter de la musique avec mes écouteurs qui m'éloignent du monde, qui transforment mes moments en trame sonore. J'aime comprendre seul, j'aime m'approprier le monde..seul.
J'ai toujours été seul, je n’ai jamais vraiment ressenti la nécessité d'aller vers les autres. Mon imaginaire a toujours comblé mon besoin d'être entouré, m'a toujours empêché de vivre une tristesse profonde ou un sentiment inquiet d'être seul.
Je ne suis pas rejeté, je ne suis pas misanthrope, je suis simplement solitaire. C'est ma façon d'être dans le monde.
En travaillant avec les enfants, j'ai appris à côtoyer les autres. À les côtoyer et pourtant, même lorsque je les prends sur moi pour écouter un film ou simplement par élan d'affection, je reste, néanmoins, seul.
Alors comment est-ce possible que je sois si bien avec toi ?
Comment est-il concevable que ma solitude disparaisse, quand tu te glisses dans ma tête ?
Comment réussis-tu à renverser le fondement même de ma personne, à faire chavirer la conception que j'aie du vivre ensemble ?
Peut-être que la réponse te sera décevante.
La réponse est que je ne sais pas.
J'en sais rien du tout.
Oh bien sûr, je peux t'énumérer une quantité de petites choses qui me ravissent à propos de toi, à propos de nous. Pourtant, même en les additionnant toutes, ces petites choses, il reste toujours une part que je ne comprends pas encore. En franchement, que je préfère ne jamais comprendre totalement non plus.
Parce que dans ce mystère réside pour moi toute notre simplicité. Je peux la décrire, en donner des exemples, mais je ne parviens pas à l'expliquer.
Et c'est ce mystère qui me pousse à me reprendre en main, finalement retourner à l'école, retrouver une forme physique, combattre ma paresse et diminuer ma fatigue. C'est ce mystère qui agit sur moi, qui me donne la force de m'élever à nouveau.
La volonté de devenir une meilleure personne. La volonté que notre bonheur fleurisse encore plus, qu'il prenne de l'expansion, qu'il s'étende aux gens autour de nous. La volonté de me réaliser avec toi.
Je veux être là pour toi.
Je veux être avec toi, en toi..
Y'a jamais personne qui ait réussi à provoquer ça en moi, le désir profond d'être ensemble.
Parce que toi et moi, ensemble, c'est autre chose.
1+1=3
Ta présence dans ma vie, elle porte une signification qui m'est très intime. Ça me laisse l'impression qu'en réalité, je ne suis pas solitaire du tout...
...
Je n'ai jamais été solitaire, je t'attendais.
samedi 21 février 2009
I've waited 'til midnight just to tell you...
vendredi 13 février 2009
Mon devoir
J'avais commencé à faire mon devoir, mais tout s'est effacé alors je recommence. Je vais modifier la question d'origine, par contre. Au lieu de répondre à «Pourquoi est-ce que tu es tellement bien?», je vais répondre à «Pourquoi sommes-NOUS tellement bien?» Parce que, évidemment, je me sens tout aussi bien que toi. Gneuh.
Touuuut d'abord, on est bien parce qu'on est tous deux affreusement drôles. En fait, on n'est pas juste drôles ; on a un humour qui se ressemble énormément. Je crois qu'on se fait rire mutuellement, intentionnellement ou pas. On se fait rire à cause de petites manies, de détails dont personne d'autre ne s'apercevrait. Je pense que ça aussi, ça fait partie de notre bien-être, en fait : notre capacité commune à remarquer les toutes petites choses, à les comprendre, à en tirer le meilleur. Quand j'y pense, j'ai des tas d'exemples en tête : mon grain de beauté sur les fesses, notre attirance partagé pour les asperges, nos expressions faciales, les mots uniques qui changent tout le sens d'un dialogue... et ta tétine, bien entendu. C'est probablement la partie que j'apprécie le plus chez toi, toutes catégories confondues ( =P ) .
Aussi, on dit n'importe quoi, à tout bout de champ. Pas juste toi ; moi aussi, oh que oui. Et ce n'est jamais grave, c'est juste drôle, juste agréable, même si des fois on «crack» (bon, d'accord, je «crack»).
On s'exaspère mutuellement, mais pas pour vrai.
Je te dis, on est tout un couple d'humoristes, nous deux. Et, si comme tu l'affirmes, on est censé vivre plus longtemps avec 15 minutes de rire par jour, on dépasse largement notre quota : on est donc immortel, très cher. Bref, tout ça pour dire que nous sommes bien parce que nous ne mourrons jamais.
Ensuiiiite, il y a aussi le fait que nous sommes complémentaires tout en étant pas mal opposés. Tu as toi-même sorti une liste presqu'exhaustive : Tu es un vieillard, je suis une gamine. J'ai les cheveux longs, tu n'en as pas du tout. Tu as les vieux verts-gris hots, j'ai les yeux bruns (brun marde). Tu es tout plein de coordination et de dextérité, je ne suis que maladresse. Tu es le dieu des Sciences Pures et je suis la déesse des Sciences Humaines. Je suis sociable, tu es sauvage (dans tous les sens du terme). Bref, il y en a plein, plein, plein. Par contre, j'ai omis de d'énoncer la plus fondamentale de nos différences : tu es un mec, je suis une meuf. C'est la base de tout.
Du côté des ressemblances aussi, on est assez fournis. On est des geeks (mais dans mon cas, pas tant que ça). On est des nerds, aussi (mais moi davantage). On a un humour plutôt douteux. On est assez inadéquats dans certaines situations (plotte à sucre). On est d'une intelligence supérieure (sauf que moi, je fais seulement semblant). On est un petit peu des artistes, aussi. Mais pas torturés. Pas trop, en tout cas. On est juste assez intello-artistico-geeko-nerds pour se comprendre mutuellement, mais sans l'être nécessairement en totalité par la plèbe (ah, cette chère plèbe). Pis en plus, on est tous les deux prétentieux.
Pour faire un résumé court de ce deuxième point, on est un couple (!!!) suprêmement intelligent, incapable de vivre en société, incompréhensible et insupportable ; mais, comme on est tous les deux comme ça, ça ne nous dérange pas trop et on arrive à s'endurer. En tout cas, on essaye.
Pour finir, tu me vois venir, je pense. Ben oui, on est rendu à la partie où je fais ma quétaine. On s'aime. Ihlàlà. On s'aime et ça fait tout drôle, parce que ni l'un ni l'autre, on ne croyait que ça pouvait encore nous arriver ; surtout pas de cette façon là, avec une telle force et un tel bien-être. On s'aime, et à deux, on redéfinit l'amour.
Ce qui, pour moi, était synonyme de prison et de manipulation, devient bonheur et simplicité. Je ne peux pas parler pour toi, mais personnellement, je ne me suis jamais sentie si bien qu'en ta présence. Oui, oui, je sais, on dit cela à chaque fois ; sauf que c'est entièrement vrai. Je ne peux pas imaginer un seul instant dans ma vie où j'ai atteint un tel niveau de sérénité ; je me répète, mais je ne croyais vraiment pas que ça pouvait m'arriver. Je m'étais résolue au célibat et aux amants ; mais tu changes tout.
C'est un amour sain, c'est un amour partagé, c'est un amour où chacun tente de donner ce qu'il a de mieux. On s'aime de la même façon, ça paraît.
Je ne veux pas croire que les récepteurs des neurones de notre système limbique s'habitueront à la réception de phényléthylamine. D'un point de vue purement chimique, les théories affirment que d'ici quelques temps, ils ne réagiront même plus. La plupart des sources soutiennent que la passion dure en moyenne 317,5 jours, soit un peu moins d'un an.
Mais tu sais quoi?
On est deux personnes d'exception, alors ça ne m'étonnerait pas du tout qu'on soit des données aberrantes.
Surtout que toi, tu es totalement A-B-E-R-R-A-N-T.
(Si tu replaces les lettres dans l'ordre, ça fait «ant arbre». Tu es donc un arbre à fourmis. Ça fait aussi Bernarta, mais je ne trouve pas que c'est un beau nom)
jeudi 12 février 2009
Question à choix multiples
B) Je suis con et méchant.
C) Mon nez est tout petit.
D) Je ne t'aime pas.
E) Je dis toujours n'importe quoi.
Laquelle de ces affirmations est fausse?
Une seule réponse possible!
vendredi 6 février 2009
Qui es-tuuuu?
Mon chum? Je n'aime pas trop cette formulation.
Martin? Tu pourrais être n'importe qui.
Mon amoureux? Oui... c'est quand même chouette...
Mon homme? J'aime plutôt ça, quand même, mais j'ai tellement dit souvent "ça, c'est tout un homme" (en pas mal n'importe quelle circonstance) que ça ne veut plus dire grand chose.
Je penche pour "mon copain". C'est simple, c'est mignon et ça inclut l'amitié autant que l'amour, deux choses que nous partageons, je crois. Euh. Non, je ne crois pas. Je sais, en fait. En tout cas, je sais pour moi, puisque je ne suis pas dans ta tête. Toujours est-il que tu me fais sécréter beaucoup d'endorphines.
Je garde le reste des appellations pour de douces pensées, à 1h48, quand plus rien d'autre ne compte que cette fenêtre qui clignote, tout en bas de mon écran.
jeudi 5 février 2009
Ahhh, les draps !
Tu ne peux pas savoir à quel point je peux apprécier tes réactions...
dimanche 1 février 2009
La Constitution
Je les pense de toutes mes forces, mes yeux te les lancent, mes mains en sont imbibées lorsque je te touche, et pourtant...
Je me tais.
Difficilement, c'est vrai. De plus en plus. C'est davantage d'efforts chaque jour de respecter cette loi, ce «défi» que je me suis imposé ; mais je me suis donné une règle à respecter et je vais la suivre jusqu'au bout.
Mes motivations sont probablement tellement mauvaises, en plus.
Je dis ça, sauf que je viens tout juste de me donner une nouvelle prescription.
Nienienie!
mardi 27 janvier 2009
Voilà, c'est dit..
(Quand même bien que ce soit un oxymoron..)
Gr...!
Le Petit Larousse Illustré 2004
Bon, bon, bon. C'est ça, hein.
dimanche 25 janvier 2009
Un tout petit début rikiki
En fait, je me demande encore quelle en serait l'utilité réelle.
Sauf que j'aimais l'idée d'un espace cybernétique juste pour nous deux. Un espace pour écrire... quoi, au juste? Je ne sais pas trop ; mais j'ai l'impression qu'on aura éternellement des choses à se dire.
On dit que les paroles s'envolent mais que les écrits restent, alors immortalisons tout cela, veux-tu?
Moi, je veux, en tout cas. Je veux immortaliser ce moment qui, pour l'instant, est le seul dont je n'arrive pas à envisager la fin, même en essayant. Peut-être que dans un mois, un an, une décennie, je ne dirai plus la même chose. Par contre, il y a cette pensée qui reste : «Il n'y a aucune raison pour que ça se termine.» Alors peut-être pas.
Alors voilà, c'est cela. Avant de m'égarer encore plus, je te laisse sur cette si douce mélodie (qui n'est pas du tout la version originale, soit dit en passant).





